JAY ZACK ELI
cette camera de 1967 sera présente lors de mes shoot
Je pense, la majorité du temps, que ce qui constitue une bonne photo, c’est la connexion qui existe entre les deux êtres devant moi.
Évidemment, prendre une bonne photo est très technique. Mais la connexion, elle ?
C’est ce qui se ressent, c’est le feeling. L’échange de regards complices.
Les sourires qui veulent tout dire. Ce qui nous accroche un sourire en coin.
Chaque fois que je shoot avec des couples, je capture la complicité et l’amour. Mon travail consiste simplement à montrer ce qui ne se voit pas, mais qui se perçoit.
L’artiste, ce n’est pas le photographe. Vous êtes les artistes. Je suis juste la toile sur laquelle vous peignez. Je suis la scène sur laquelle vous dansez.
Vous avez su apprivoiser la parfaite imperfection chez l’autre. Celle qui vous complète et qui vous accompagne dans les hauts et les bas de votre histoire. Vous avez partagé de grandes victoires, des échecs aussi. Et assurément bien des aventures et des souvenirs.
Je sais à quel point il est incroyable de regarder une photo de vous-même et de la personne que vous aimez et de penser :
« C’est ça. C’est nous. Il nous a capturés. C’est tout. »
Chaque seconde, je capte, je gèle, j’immortalise une joie absolue et une intimité que vous seuls partagez.
Je n’aime pas la mise en scène de photos. Ce qui semble « stagé ». Les photos de catalogue. Je préfère créer intentionnellement un espace pour le spontané, le décalé, le plaisir, la douce folie. Vous laissez aller en vous guidant parfois mais en vous laissant choisir le chemin que nous emprunterons.
Bien qu'il y ait toujours un temps pour prendre du recul et capturer ce qui se déroule, je veux créer intentionnellement un espace pour le spontané, le décalé, le plaisir!
Pour moi, un mariage, c’est un party avec vos familles et vos amis les plus chers. Je suis amoureux du genre de couple avec lequel on salit son habit, on saute par-dessus les barrières et on prend des décisions folles durant le jour J.
Le genre de couples qui se soucient plus du dernier jour que du premier. Si le mariage compte encore plus pour vous qu’il compte pour moi… Alors